escapade nocturne

Il faisait nuit, normalement elle ne devrait pas, mais la tentation est trop forte, elle prend une robe, verte émeraude comme elle les aimes, en satin qui lui glisse sur la peau, pour une fois pas si enfantine que sa, quelque chose en elle lui criait ce soir d’être femme alors elle fixait sa poupée de porcelaine pour la laisser a l’abandon dans sa chambre, baigner par la pleine lune…
En silence, évitant les surveillant, elle sortie a pas feutré de la propriété, un gilet sur les épaules, elle avait décider d’aller visiter la ville, ses cheveux blond et bouclé se fonder avec la couleurs pâles de la lune qui s’y refléter, et les yeux bleu de la petite fille était remplie des étoiles que le ciel dégager projeter a sa vision. Sa robe était courte, ses chaussures était fine, et sont visage était maquiller, elle n’avait plus rien d’une enfant, cette nuit, non, la nuit elle était une femme, qui rêve de paix… Elle laissait son instinct guider ses pas, le talon claquer sur le sol, dans les rues de la ville, plusieurs hommes l’interpeller, mais la jeune fille ne faisait que sourire, rentré un peu dans leurs jeux pour mieux les rejeter par après, au fur et a mesure, l’endroit ou elle aller devenir désert, bientôt, elle n’eut que la lune pour éclairage, ce dont elle se contentât pleinement.
Elle était maintenant dans les jardins, ici il n’y avait personne, que quelques couples, des amoureux qui se bécoter sur les bancs publiques en pleine nuit, cela ne l’intéresser pas, elle cherché autre chose, mais elle-même ne pouvait pas dire quoi… C’est alors qu’elle continuer sa marche, découvrant la ville en même temps que son errance nocturne, pour enfin sentir un apaisement dans son cœur, la devant elle, derrière ses jardins si bien tenue, elle y trouvât un parc… Abandonné…
La brise du soir jouât avec ses cheveux et sa robe alors qu’elle avancer pour allé dans ce parc de jeux sans vie, les ancienne balançoires, de simples planches de bois relier a des cordes… une petite cabane, ronger par le temps, qui a du vivre de bon moments avec des enfants jouant aux papas et a la mamans… Les yeux de la jeune fille se voilèrent de tristesse, emprunte de douloureux souvenir, et sans s’en rendre compte,elle s’assit sur l’une de ses planches de bois, faisant grincer la fondation vieille et user de ce jeux enfantins ou tellement d’autres on du s’asseoir avant elle, elle a encore l’impression d’entendre les rires des enfants qui jouaient ici autrefois, et serra ses mains sur les cordages en même temps qu’elle se mordait la langue la bouche fermé, elle n’y a jamais eu le droit, elle n’est pas passer par la… En fait elle n’a aucun bon souvenir de sa vie… Elle sentait ses yeux devenir humide, en même temps que sans qu’elle ne le contrôle, ses larmes s’échappent de ses yeux qui sont rester si longtemps sec, et vide, ce soir, tout lui venait en un coup, le remord, la peur, la tristesse… Au final elle ne valait pas mieux qu’un démon, elle était même pire, elle le savait… Pourquoi les autres ont-ils eu le droits a leurs instants de bonheur et de joies, alors qu’elle a toujours était enfermé dans sa solitude, sa tristesse, sa douleurs et sa rage… ?
La jeune fille sanglotait maintenant, sans faire attention a la voix dans sa tête qui lui disait que quelqu’un s’approchait, elle était plier en deux sur sa balançoire, la laissant aller o rythme du vent sans se rendre compte que quelqu’un l’avait remarquer….

[Désoler, sa doit te paraître nul et bien triste XD]

Niveau C Nombre de messages : 32 Date d'inscription : 22/04/2008

Loup se balance, assis sur une branche d’un arbre et bercé par la brise fraîche et nocturne. Il a l’impression que le vent chante une longue mélodie destinée à faire pleurer les étoiles. Loup hausse un sourcil, passablement étonné en découvrant, qu’aujourd’hui, le vent ne faisait pas pleurer que les étoiles. Un sanglot qui s’élève au creux de la nuit. Douce interlude. Il saute au bas de son arbre et atterrit en souplesse. Le parc pourrait sembler lugubre à tout autre personne que lui mais ses yeux n’interprétaient pas de cette façon là les ultimes reliques du temps passé. Les vieilles balançoires et les petites maisons tombant en ruine avaient le don de faire fonctionner plus que nécessaire son imagination en d’autre temps déjà fertile. Il s’approche d’un pas leste avant de s’immobiliser, pensant, soudainement à quelque chose qu’il juge être extrêmement désagréable : S’il y a des sanglots, c’est qu’il y a quelqu’un…

Son pas se fait feutré lorsqu’il se glisse à travers les arbres. Il débouche sur les balançoires. Une fille. La balançoire se balance un peu sous le coup de ses sanglots plus ou moins répétitifs. Il s’approche. Doucement. Il n’aime pas que les gens pleurent. Il n’aime pas les gens mais n’aime pas, non plus, les voir malheureux. Une énigme sur pied. Il ne s’approche pas trop d’elle, ayant peur d’une réaction violente au cas où il la surprendrait.

« Bonsoir… »

Le ton est doux. Aucune animosité n’anime les pupilles bleutées du jeune homme. De toutes façons il n’a aucune raison d’être haineux. Il se frotte les cheveux, se trouvant, toutefois, idiot d’avoir abordé une jeune fille pleurant dans un parc déserté, en pleine nuit. Il se pourrait que ce soit une tueuse sanguinaire, non ? Brr…Il en tremble rien que d’y penser. Et si elle lui sautait à la gorge et que ses larmes n’étaient que des simulacres pour l’attirer dans un piège ? Il rie intérieurement de sa propre bêtise. Paranoïaque et trop rêveur pour son propre bien.

[J'aime les choses tristes... Moi tu me pardonnera la bien piètre longueur de mon post... ><]

Claudia n’entendit pas le jeune homme s’approcher, et ce n’est que lorsque celui-ci s’adresser a elle, que la voix dans sa tête lui criât la présence de cette personne, elle eu un sursauts, faillie tomber de sa balançoire, petite et frêle comme elle l’était mais se retint elle était surprise, et avait lever son regard vers le jeune homme, ses grand yeux bleu étaient encore humide et triste, bien que la stupeur pointer déjà le bout de son nez, lui-même avait l’air de ne pas savoir ce qu’il faisait ici, elle ne comprenait pas comment elle a réussi a être autant absorber dans ses souvenirs…
Il n’avait pas l’air méchant, et le ton qu’il avait prit n’avait rien de haineux ou colérique, qui était il, était ce encore un de ses hommes comme elle en a déjà croiser tant avant d’atterrir ici ? Non il n’en avait pas l’air, elle l’observer en silence alors qu’il passait une main dans ses cheveux, ouvrant plusieurs fois ces lèvres alors qu’aucun son ne sort, elle ne savait pas trop comment elle devait réagir, la voix dans sa tête qui c’était calmer lui dicter de ne pas être violente et d’être douce, simplement d’essayer d’être amical… Amical ?… Et bien, essayons… Un son sortie enfin de es lèvres, mais sa n’avancer pas beaucoup dans la conversation elle était gêner, était prise au dépourvue, elle détester qu’on la surprenne dans une position de faiblesse comme celle-ci, elle n’a jamais était faible… Mais il faut une première fois a tout après tout…

« Heu… Et bien….Bonsoir Monsieur… »

Elle séchât ses yeux pour lever a nouveau ses grand yeux bleu vers lui, elle avait un regards fuyant jusqu'à se qu’elle se décide enfin a l’observé, et l’intrigue montant en elle…

« Heu… Je… Je suis désoler heu… »

Elle soupirât légèrement, que pouvait elle bien lui dire, pourquoi s’excusait elle ? Elle se sentait coupable de l’avoir attiré ici pour rien sans doute, après tout, personne ne se soucier d’elle… Nouveau soupir qui sort de ses lèvres rouge entre ouverte alors qu’elle baisse son regard vers la cabane en face d’elle…

« Je… Je suis désoler, j’ai du vous déranger… Mais qu’est ce qu’un jeune homme comme vous viens faire ici a cette heures ci… ? »

Elle fixait toujours la cabane devant ses yeux et se maudit intérieurement, qu’elle idiote, et elle que faisait elle donc ici en pleine nuit ? Elle se tue laissant le vent souffler dans son dos pour jouer avec ses cheveux blond sans oser regarder a nouveau son interlocuteur…

Niveau C Nombre de messages : 32 Date d'inscription : 22/04/2008

Loup s’affale sur la balançoire à côté de la jeune fille une fois qu’elle eut fini de s’excuser/bredouiller/bégayer [Rayer les mentions inutiles]. Il se balance un peu, faisant grincer le portique. Il se dit que la balançoire va finir par céder sous leurs poids conjugués avant de hausser les épaules, fatalistes. Si ça cède, ça cède et puis tant pis. Il soupire avant que son esprit s’arrête sur la question qui vient de lui être posé. Que fait-il ici ? Il se mordille la lèvre inférieure avant de dire, doucement :

« J’écoutais le vent faire pleurer les étoiles… »

Réponse obscure. Réponse qui engendrera peut-être bon nombre d’autres interrogations mais tant pis. Après tout, il a tout son temps, non ? Il lance ses jambes vers l’avant donnant une impulsion supplémentaire à la balançoire qui s’élance en hauteur. Pas trop haut, pour ne pas faire s’écrouler définitivement l’antique portique.

« Et vous, Mademoiselle, pourquoi pleurez-vous ici ? »

La question dénote un intérêt poli. Pas de curiosité déplacée ou quoi que ce soit du même style. Il ne cherche pas à la faire parler si elle ne veut pas. De toutes façons, au fond, il s’en fout un peu. Les gens ne l’ont jamais intéressé et il a toujours prôné la solitude comme mode de vie le moins contraignant existant. Ce qui, au fond, n’est pas réellement faux. Enfin bref…

La jeune fille continuait d’observer la petite maisonnette en bois sous ses yeux, alors qu’a coté d’elle le jeune homme répondait a sa question, une réponse intrigante, elle se sentait bizarre, la voix dans sa tête ne cesse de lui dire qu’il est spécial, elle fermât les yeux avec un léger sourire a la réponse du jeune homme, elle y sentait de la poésie, si seulement plus de personne parlé comme sa… Mais le vent ne faisait pleuré que les étoiles…. Mais elle pourquoi pleure t’elle ? Elle posât ses doigts fins sur son visage, pour toucher la trace encore humide de ses larmes, et ouvrit les yeux pour observer sa main briller au claire de lune sous l’humidité des perle d’eau qui c’étaient échappées de ses yeux… C’est vraie qu’est elle venue faire ici… ? Pourquoi pleurait elle… ? Elle fixait sa main en silence pendant un moment avant de soupiré pour elle-même…

« Je vous avoue que moi-même je ne sais pas se que je fais ici… Mon instinct m’a conduit a cet endroit sans raison particulière… Peut être pour me rappeler… »

Elle s’arrêtât net… Pour lui rappeler quoi ? Justement, pour lui rappeler rien… Car elle n’a aucun souvenir dans ce genre d’endroit, quand elle avait l’âge de s’amuser dans ses endroits, elle était enfermé chez elle, seule, a lire et a se demander quel genre de démon elle était pour être différente…
En parlant de différence…. Le vent soufflât a nouveau derrière les jeunes gens, elle se sentait étrange, qui était il, pourquoi lui donnait il cette impression… ? Le sang de la jeune fille bouillonner en elle, elle ne savait pas pourquoi mais elle ne dit rien et levât son visage vers la pleine lune pour laisser cette douce lueur inonder ses yeux d’illusion éphémère, qui disparaisse dans un battement de cils…

« La nuit… Est vraiment magnifique vous ne trouvez pas… ? »

Elle sourit, un sourire un peu fou, un sourire de solitude…

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Tout en continuant de se balancer de plus en plus haut, Loup tousse légèrement. Le vent fouette sa peau et c’est à peine s’il entend la réponse de la jeune fille. Hm. Si elle-même ne sait pas ce qu’elle fait là, personne ne pourra l’aider. Le jeune homme retient cependant cette remarque, préférant éviter de braquer la jeune fille plus qu’elle n’a l’air de l’être. Ses jambes s’élancent vers l’avant faisant tressauter le portique qui n’a plus l’air de tenir que par une magie étrange refusant de céder à la patine du temps.

« Hm… Vous êtes déjà venue ici ? »

Il fronce les sourcils. Il l’aurait su, si elle était déjà venue, vu le temps qu’il passe ici. Il ne l’avait jamais vu dans les parages et ce fait l’intriguait franchement. Serait-elle venue l’une des rares fois où il avait préféré l’abri de sa poubelle à l’ombre protectrice des arbres ? C’est une possibilité, cela lui était arrivé pas mal de fois ces derniers temps. Il tourne la tête et lui sourit tranquillement à cette petite poupée à l’air perdu.

« Vous savez… La nuit n’est pas plus magnifique que le jour. Tout dépend du côté de la journée qu’on a l’habitude de fréquenter. Mais, oui, la nuit est superbe aujourd’hui. »

Il était vrai que la lueur des étoiles associée à la douce et chatoyante lumière de la Lune, faisaient de cette nuit, une échappée probable au royaume de l’Imaginaire et du rêve. Oui, définitivement le pâle faisceau bleuté faisait de magnifiques choses.